L’Industrie Magnifique à AEDAEN Gallery et dans tout Strasbourg !

Boule 9 - Alexandre Astier - 2020 - laiton 8 cm

L’ADIRA figure parmi les initiateurs de l’opération L’Industrie Magnifique. Performance qui permet une rencontre entre l’art et l’industrie sur la place publique, L’Industrie Magnifique associe artistes, entreprises mécènes et collectivités locales, fédérés autour d’un objectif commun : promouvoir et développer la création, l’art et le patrimoine industriel dans les territoires.
La 2^e édition de L’Industrie Magnifique aura lieu à Strasbourg du 3 au 13 juin 2021. 30 œuvres d’art originales et monumentales qui seront exposées sur 20 places publiques de Strasbourg.

L’ADIRA partenaire et mécène de cette 2^e édition de LIM

L’ADIRA sera partenaire et mécène de cette nouvelle édition de L’Industrie Magnifique. Cette initiative s’inscrit en cohérence avec notre cœur de métier d’accompagner les entreprises industrielles en Alsace dans leurs projets de développement, de valoriser l’image de l’industrie et de soutenir le développement économique.

Nous avons souhaité collaborer avec l’artiste Alexandre Astier dans le cadre d’un solo show pour L’Industrie Magnifique 2021. L’exposition s’intitule « machin, machine » et sera visible à AEDAEN Gallery à Strasbourg.

Stop – Alexandre Astier – 2015 – roue de vélo sans moyeu – 59 cm

Le focus sera fait sur les oeuvres produites par l’artiste ces dernières années. Alexandre Astier utilise dans sa pratique des matières premières issues de l’industrie, des objets du quotidien, trouvés, glanés, qu’il assemble avec une intelligence poétique. Ces œuvres intemporelles qui rappellent « l’esprit de l’établi ou de la grange » ou sa passion pour la pétanque, sont élaborées avec précision et finesse.

Selon Raphaël Charpentié, directeur artistique de l’AEDAEN Gallery, « Alexandre Astier extrait des objets hors du contexte pour lequel ils ont été conçus. (…) Les objets suggèrent ces impossibles assemblages par leurs qualités intrinsèques -les particularités de chacune s’organisant, se combinant tant bien que mal entre gravité et hasard.
Les œuvres de l’exposition « machin, machine » donnent envie d’être lues au travers du prisme de l’art brut, par leur aspect parfois rugueux et leurs fulgurances instinctives. (…) Au-delà de l’évidence poétique presque universelle des objets qu’Alexandre Astier juxtapose, assemble ou creuse, il y a dans son travail un engagement plastique fort. Comme s’il répondait, par provocation, à l’ultra haute définition du white cube immaculé et lisse en lui opposant des objets de récupération un peu rouillés, de vieux casiers de bois, des ballons de mousse usés. On serait alors tentés d’imaginer Alexandre Astier en brocanteur fantasque, mais, un peu comme s’il pressentait ce jugement, il décide de nous montrer ses objets-sculptures en les agençant avec une précision horlogère, traçant ses dessins avec la régularité d’un moteur pas-à-pas. Nous désarçonnant alors de nos certitudes esthétiques, donnant à voir une singularité tendre et forte. »